sous-terrains (larves de taupins et de hannetons entre autres) et fertilisant abondamment le sol tout en étant elles-mêmes dans une sorte de Club Med pour cocottes : du soleil et de la douceur à gogo (notre potager le plus ancien -le seul à l’époque- étant orienté plein sud, entouré de petits murets le protégeant des vents froids, et accoté à une serre en verre qui servait d’ailleurs de « poulailler » ultra lumineux toute la saison hivernale), de la verdure et de la terre à fouiller, bref, une sorte de panacée pour gallinacés.
Mais c’était sans compter sur la jardinière-cuisinière de la famille, qui fut soudain prise d’une irrépressible lubie : cultiver son potager en plein hiver afin de gagner en autonomie.
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